Presse & média

La presse parle du
PHILHARMONIA DE LYON

LE JOURNAL DE SAÔNE & LOIRE – 30/11/2016

Les plus beaux AVE MARIA

Deux cent dix spectateurs ont assisté, en soirée de dimanche dernier en l’église, au concert, proposé par l’association Musicales en Vert Pré et interprété par le Chœur du Philharmonia de Lyon placé sous la direction de Jean-Claude Guérinot.

À l’affiche de ce concert, qui clôturait une riche saison culturelle 2016, les plus beaux Ave Maria, des plus célèbres aux moins connus et les musiques célestes. Tout un programme qui a unanimement ravi les spectateurs qui en témoignent : « le concert était beau et j’ai vraiment adoré la musique qui me rend déjà dans une ambiance de Noël », dira une spectatrice hollandaise.

Alain LEBAS

LE JOURNAL DE SAÔNE & LOIRE – 14/11/2014

Les plus beaux AVE MARIA

L’association Musicales en Vert Pré a choisi de fêter en grande pompe ses cinq années d’existence. Dans le cadre du festival Vivaldi, le Philharmonia de Lyon se produira à l’église de Saint-Julien-de-Civry. Composé de 65 choristes, 13 musiciens et quatre solistes, cette formation placée sous la baguette de Jean-Claude Guérinot joue habituellement sur les scènes les plus prestigieuses en France et à l’étranger. Lors de ce concert digne des plus grands rendez-vous nationaux, le public appréciera L’hiver des Quatre saisons , d’après une transcription originale pour chœur et orchestre. Les mélomanes auront également plaisir à redécouvrir un concerto pour flûte, Beatus Vir Magnificat.

Dimanche 16 novembre. À l’église à 17 heures. 15 € (plein tarif) et gratuit (moins de 15 ans). Réservations conseillées. Tél. 06 34 82 18 67.

C.G.

LE TOUT LYON – 10/04/2012

Le STABAT MATER de DVORAK

Soirée chaleureuse à la Crypte de la Basilique de Fourvière :l’Orchestre et les Choeurs Philharmonia au grand complet faisaient découvrir aux lyonnais venus en masse, une oeuvre rare , le Stabat Mater de DVORAK sous la direction de Jean Claude GUERINOT ( le 22 mars ). Un évènement de taille si l’on pense qu’à la fin des années 1870 c’est ce Stabat qui a valu au compositeur tchèque sa reconnaissance internationale . Un choix judicieux par ailleurs : l’oeuvre est directement en relation avec le temps liturgique précédant la fête de Pâques. Quatre bons solistes, Sophie Lou, Alexandra Guérinot, Thierry de Marcley et Paul Henri Vila, complétaient le considérable effectif et le menaient au triomphe.
Mais le concert était marqué d’un autre évènement : la décoration solennelle du chef dans l’ordre des Arts et Lettres . Une médaille hautement méritée pour un musicien et un entraîneur de foules qui , depuis quarante ans , n’a cessé de mêler enseignement et direction d’orchestre non seulement à Lyon mais aussi en Pologne et aux Etats Unis. Nul ne pourra l’oublier : quelques uns de ses nombreux disciples lui ont fait une vibrante ovation.

Philippe ANDRIOT

LE TOUT LYON – 25/06/2011

Grand succès du Philharmonia de LYON

Il y a des concerts d’ensembles dits  » amateurs  » qui ont de quoi rivaliser avec les respectables « professionnels  » . c’est le cas des choeurs et orchestre Philharmonia, mêlant amateurs et professionnels, qui viennent de porter au 7° ciel une église Saint-Bonaventure pleine à craquer, sous la direction de leur fondateur Jean-Claude GUERINOT.
On attribuera evidemment la raison du succès , pour une part, à la participation d’une vedette,la violoniste Marie-Annick NICOLAS qui emporte le Concerto de Mendelssohn d’un seul élan et une rare plénitude sonore.Avec en plus une exemplaire recherche de communication avec un orchestre à sa dévotion. Mais c’est bien l’enthousiasme agissant de ces instrumentistes et chanteurs, rayonnant d’un plaisir à revendre, qui fêtait la très charmeuse Missa Di Gloria où PUCCINI tire un peu la liturgie vers l’opéra ( Guérinot l’a autrefois sorti de l’oubli). Elle était ici illustrée par deux grands professionnels, le ténor Thierry GROBON DE MARCLEY, au timbre ensoleillé très en situation et le baryton Grégoire GUERIN qui sait ce que phraser veut dire.

Philippe ANDRIOT

LE CHATILLONAIS L’AUXOIS – 20 JUIN 2011

Organisé par l’Association Patrimoine en Musique , le concert en l’Abbaye de Fontenay a remporté un vif succès.
Il faut dire que la prestation relevait du haut vol avec le Choeur et orchestre Philharmonia de Lyon dirigé par Jean Claude Guérinot. Le programme résolument « classique » présentait la Romance pour violon et orchestre de Beethoven avec pour soliste Anne Sophie Pressavin, le concerto pour violon et orchestre de Mendelssohn avec en soliste Marie Annick Nicolas , puis la Messa Di Gloria de Puccini avec Thierry Grobon et Grégoire Guérin de L’Opéra National de Lyon.
L’Abbatiale était comble. Les prestations artistiques furent de haut niveau, au point que le public se leva pour ovationner le bouquet final du programme.

« LE QUOTIDIEN POLONAIS » « DZIENNIK POLSKI » – 29/10/2010

Sacré et profane

Le lundi 25 octobre 2010 à La PHILHARMONIE de KRAKOVIE a été donné un grand concert dans le cadre du Jubilé des soixante ans du choeur MARIANSKI, établi dans la Paroisse de Notre Dame de Lourdes à Krakovie. les artistes ont reçu une longue ovation debout .
 » Ce fut une soirée sublime ; je voulais préparer pour ce jubilé quelque chose de différent et de grand . Nous avons chanté comme un choeur professionnel et l’orchestre Philharmonique de Krakovie a ajouté de l’éclat » a déclaré à l’issue du concert Jan RYBARSKI, le chef de choeur .

Autour du choeur Marianski ce Jubilé a réuni le choeur Philharmonia de LYON et le choeur Mariaren Bihotza Abesbatza de San Sébastian au pays basque espagnol.

Le concert a débuté par la belle prestation du Chef Jean Claude GUERINOT qui a interprété au piano le Nocturne en UT dièze mineur de CHOPIN.
Puis le public fut impressionné par la belle performance des trois choeurs interprétant en parfaite harmonie deux oeuvres vocales le Totus Tuus de GORECKI et L’Agnus Dei de KILAR .

Le point culminant du concert fut la MISA TANGO de Luis BACALOV , compositeur argentin.

L’orchestre sous la baguette de Jean Claude GUERINOT rejoignit alors les choeurs ainsi que la Mezzo Soprano Alexandra GUERINOT , le Baryton Mark Siedlik et l’accordéoniste Marcin Wiercioch.
Cette oeuvre s’est avérée très intéressante , pleine de grands thèmes dans le rythme du tango, l’accordéon évoquant des oeuvres pour orchestre d’Astor Piazzola.
L’association du tango, musique profane et du texte de la Messe a enchanté le public qui a longuement ovationné l’ensemble et demandé un bis.

Comme pour tous les anniversaires , s’est déroulée une cérémonie de remises de décorations avec discours et allocutions .
Son Eminence le Cardinal Stanislaw Dziwisz a remis aux choristes méritants des médailles de Jean Paul II et a déclaré: « la musique vous aide à vivre une rencontre avec Dieu et traduit l’évangelisation et le témoignage du Christ. Dieu a béni un ensemble musical aux multiples talents ».

La Vice Présidente Elisabeth Lecznarowicz a honoré le chef Jan RYBARSKI  » Honoris Gratia »

Agnieszka Malatynska-Stankiewicz

LYON CAPITALE – 23/04/96

Lyon vaut bien deux messes. (L’activité culturelle lyonnaise présentait au même moment La Grande Messe en UT mineur de MOZART par les choeurs et orchestre de l’opéra de LYON et par les choeurs et orchestre du Sinfonia de LYON)

Un match inhabituel avait lieu la semaine dernière à Lyon: une même oeuvre était donnée par deux ensembles différents.Amateurs passionnés contre professionnels rodés? David conrtre Goliath.

…….Au Sinfonia au contraire, il se dégageait de la direction de JC Guérinot une emphase toute mystique appliquée généreusement par son ensemble choeur et orchestre…..et pourtant de ces deux soirées mozartiennes, on retiendra que l’amateurisme, quand il est soutenu et encadré, peut donner des sensations plus fortes qu’une interprétation impeccable mais qui manquerait un peu d’âme.

Stéphane Cayrol

L’EXTRAORDINAIRE (LYON) – 12/02/1994

Le dimanche 9 janvier à 18 h l’Auditorium Maurice Ravel a été le cadre d’un évènement musical d’exception. Le superbe ensemble choeur et orchestre du Sinfonia sous la direction à la fois fougueuse et enthousiaste de JC Guérinot donnait une lumineuse interprétation de la Messe baroque pour le XXIe siècle appelée justement « LUMIERES » composée par Jacques Loussier en 1986.
100 choristes, 50 musiciens et deux jeunes solistes ont donné, grâce à une cohésion, un dynamisme et une précision exemplaires, une lecture étincelante de cette partition, subtil mélange de style baroque, de jazz et de percussion rock.
Le spectacle était réhaussé par des projections sur les tuyaux d’orgues de couleurs changeant selon l’intensité des émotions sonores…….

Jean F. Schmitt

LA TRIBUNE – LE PROGRÈS – 12/10/1992

La Petite Messe Solennelle de Rossini….un triomphe.
……Et c’est de cette cohésion entre un chef précis et exigeant et les exécutants nombreux et de qualité que naquit cette heure et demie d’enchantement où le Bel canto l’emporta souvent sur l’idée que nous nous faisons de la musique sacrée…..Une mention spéciale au généreux talent de la soprano Evelyne Brunner…..

F.G

LES NOUVELLES CALÉDONIENNES – 16/08/1991

…..Manifestement le Sinfonia a prouvé que l’on pouvait donner tout leur relief à de grandes oeuvres symphoniques sans disposer de la centaine de musiciens d’un grand orchestre.
La composition de l’ensemble lyonnais complété par les instrumentistes du territoire a été soigneusement, pensée, dosée par Jean-Claude Guérinot pour atteindre un total équilibre sans ôter une once de relief à l’interprétation d’un superbe programme……

L. Delannoy

LE PROGRÈS – 10/07/1991

Chaque année, le festival du Haut Jura attire un public d’amateurs éclairés. Ce fut d’autant plus vrai pour le concert morézien car les choeurs et orchestre du Sinfonia de Lyon ont fait éclater en harmoniques la nef de l’église Notre Dame.
Avec la succession de trois messes : Haydn, Mozart et Schubert pour fêter de manière originale le bicentenaire de la mort de Mozart, le festival a donné de grands moments d’émotion aux nombreux auditeurs présents et c’est debout qu’ils ont applaudi musiciens et chanteurs placés sous la direction souple, élégante et expressive de leur chef Jean-Claude Guérinot.

C.J.

LA TRIBUNE – 07/07/1989

La Grande Messe des Morts de Gossec à Saint Bonaventure (Lyon) et en l’Abbaye de La Bénisson Dieu (Loire).
L’interprétation de cette oeuvre gigantesque bouleversante et prophétique dirigée par Jean-Claude Guérinot a suscité recueillement, émotion et enthousiasme. Les choeurs et les solistes avec une technique vocale éprouvée, l’orchestre d’une belle homogénéité ont apporté la preuve que cet authentique chef-d’oeuvre se devait de ressortir des bibliothèques et avoir sa place en concert au même titre que les autres « Requiem » célèbres.
Les interprètes ont su rendre le large éventail des émotions qui se dégagent de cette messe; ferveur, humilité devant la mort, espèrance et optimisme triomphant……

Francis Godinot

LE PROGRÈS – 08/02/1985

……C’est bien, d’ailleurs, l’image de l’enthousiasme qui s’impose à propos du « Requiem allemand » de Brahms, entendu cette semaine à l’église Saint- Denis de la Croix-Rousse……Quant au travail accompli avec les choeurs, il est sans doute exemplaire : sa passion directement communicative, ses sonorités pleines, sa tension sans faille avaient de quoi convaincre le nombreux public.

Philippe Andriot

Article paru dans le Journal de Saône & Loire, le 15 Juin 2019